Avec le temps qui passe, s'éteindront nos voix
Mais nos corps, que rien ne lassent, se souviendront des baisers florentins
Que nous donnions au clair matin
Avec un peu d'azur dans l'écriture
Et quelques reves à portée de main.
mardi, septembre 05, 2006
Publié par nico à 5:14 PM 0 commentaires
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