samedi, juillet 22, 2006
Publié par nico à 6:48 PM 2 commentaires
vendredi, juillet 21, 2006
- Et alors ce voyage c'était comment ?
repenser à l'immensité traversé, sentir des myriades d'images défilées, retrouver retrouver l'écho des émotions passées et s'entendre balbutier....
- ben......... c'était.... c'était bien.
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- Et c'est quoi cette coupe de cheveux ?
- ben c'était le matin.... et elle avait déja bu son quatrième verre de schnaps....
Publié par nico à 4:56 PM 0 commentaires
c'est la fin.
Jeunes gens le temps est devant vous comme un cheval échappé
Qui le saisit à la crinière entre ses genoux qui le dompte
N'entend désormais aue le bruit des fers de la bête qu'il monte
Trop à ce combat nouveau pour songer au bout de l'équipée
Jeunes gens le temps est devant vous comme un appétit précoce
Et l'on ne sait plus que choisir tant on se promet du festin
Et la nappe est si parfaitement blanche qu'on a peur du vin
Et de l'atroce champ de bataille après le repas de noce.
[...]
Que le temps devant vous jeunes gens est immense et qu'il est court
A quoi sert-il vraiment de dire une telle banalité
Ah prenez le donc comme il vient comme un refrain jamais chanté
Comme un ciel que rien ne gêne une femme qui dit pour toujours.
Enfance. Un beau soir vous avez poussé la porte du jardin
Du seuil voici que vous suivez le paraphe noir des arondes
Vous sentez dans vos bras tout à coup la dimension du monde
Et votre propre force et que tout est possible soudain
L. Aragon-- la beauté du diable.
Publié par nico à 4:48 PM 0 commentaires
aéroport Tachkent
Le jour commence à peine à dorer le paysage.
Il regne un brume légère. Enveloppant d'une paleur éparse, les corps endormis.
Dans cette lenteur des gestes, comment croire au départ ?
Publié par nico à 4:47 PM 0 commentaires
L'ouzbekistan vraiment en bref
- les serveuses qu'on appellent Douchka, ca donne un petit coté fantastique a chaque commande
- le baiser à la russe. Ah voir 2 vielles se faire un smack aussi appuyé que bruyant sur les lèvres...
- la proportion démesurée de Francais.
Quel est donc cet immaginaire commun qui nous porte ici ?
- le coté : on est pas peu fiers de nos tyrans.
- le jeu de marelle où M. déambule avec grace tandis que je me vautre lamentablement sous le regard compatissant des enfants de quartier.
- le frelon, un animal de compagnie affectueux
- le salut avant et apres le repas: les maisn sur le visages qui descendent au ventre.
- l'hote qui, solennel, romp le pain, et le distribue la mine grave.
- la beauté des monnuments. Ce sentiment de l'histoire ici écrite.
- les flics et leurs gouts pour les prommenades nocturnes.
Publié par nico à 4:38 PM 0 commentaires
Opéra
Tandis que sur scène, on reve de Paris et des Vfolies Bergerrrres et de ses peintres romantiques, la salle se bidonne et applaudit a la moindre pause.
Toute la salle ? non.
Quelques rombières sont quand meme venues exposer leurs froideurs, leurs diamants et leurs rides.
Et seules, armées de leurs jumelles, murmurent bouches serrées des pensées exquises.
Nous, sans comprendre un traitre mot de tout ca, nous nous lovons dans l'hilarité générale....
Publié par nico à 4:04 PM 0 commentaires
mercredi, juillet 19, 2006
Je ne suis pas sur qu'un voyage apporte beaucoup de reponse. Pourtant, il m'est une question qui me hante depuis longtemps :
du flic et du voleur qui est apparu en premier ?
Et bien dieu, dans sa grande mansuetude, m'a apporte' la reponse hiers soir.
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Apres une longue journe'e d'errance, je rentre un peu tard en mon logement familiale. A une dizaine de metre de l'entre' du batiment, deux policiers controlent en criant un groupe de pakistanais.
Candide, je passe a cote', sans un regard.
On m'arrete. " Passport ! "
C'est la troisieme fois en 1/2 heures. je commence a etre un peu las.
Je le tends. Tout les controles se sont deroule's de maniere relativement simple jusqu a present.
Je suis confiant.
Le premier policier, qu'on nommera Hutch par commodite' me sourit.
" one minute...."
J'attends. Il est 11h du soir. La nuit est pleine.
Starsky, - l'autre- revient . Le visage sec, les joues creuses, les yeux hargneux. Prends mon passeport. Le regarde d'un oeil mauvais.
- " visa no "
moi- "visa ok, no problem, look "
lui - yes problem.
Il ne me regarde pas. Ferme le passeport. Fais quelque pas.
moi - eh what are you doing ?
lui - no visa .... commisariat.
Son ton est d'une secheresse peu commune et dans ses yeux brillent une colere bien noire. Toute discussion semble impossible. Ils sont deux. Ils ont mon passeport. Je n'hesite qu'un instant.
Je suis.
Nous marchons.
Quelque metres apres, un coin sombre.
Il montre mon sac. fais le geste de l'ouvrir.
Il se met a le fouiller avec le fureur. Tout s'etale a terre. Mon appareil photo, mon lecteur mp3, mon billet d'avion, mon argent....
Il ramasse l'argent.
Je l'arrete.
Il me repousse avec force. Ramasse les billets, les mets dans le passeport.
lui - certificate dollards ? euros ?
je montre mes documents.
lui - No ! No certificate ! problem. Go !
Mes affaires sont eparses a terre.
On reflechit vite dans ces moments la. trop vite.
S'ils avaient voulu me voler,ils l'auraient deja fait avant. La nuit est noire, il n'y a personne. Ils sont deux. Leurs matraques ne semblent pas en carton.
J'opte pour l'option il est fou ou fait du zele.
Atteindre le commisariat. Trouver un superieur. Appeler l'ambassade.
Surtout, surtout ne pas perdre de vue le passeport.
Je tente de ramasser mes affaires rapidement tout en le surveillant du coin de l'oeil.
Starsky tient avec hargne mon passeport. Je marche a ses cote's, essayant d'evacuer la colere montante, et de retrouver un souffle calme.
Souffler profondement.
Hutch nous suit quelques metres plus loin. J'hesite. soit il est pataud, soit il ne veux pas etre mele' a ca, soit il ferme la marche.
Nous nous enfoncons dans la ville encore plus noire, plus silencieuse.
" il est ou' ce commissariat ?"
" la a gauche "
" la a droite "
" dans 10 minutes "
sont les seuls reponses auxquelles j'ai droit.
Chaque batiment eclaire' devient l'espoir de l'arrive'e prochaine.
En vain.
Je ne comprends pas ou' nous allons. L'endroit ne peux pas etre plus sombre qu'a present.
Je pense au viol. Rejette l'idee.
Je pense a fuire. Arrache' le passeport serrait une chose, mais semer 2 types arme's dans la force de l'age, moi avec mes chaussures de rando, mon p'tit sac, et mon corps portant la fatigue de 3 mois de voyage, me parait trop aventureux.
" a gauche !"
" a droite !"
Nous arrivons dans un terrain vague. En face un batiment semblable a une prison.
Controller les battements d'un coeur qui voudrait s'affoler.
" ou' est t on ? '
Pas de reponse.
Hutch se met a pisser. C'est absurde.
Je jette mon sac a terre. Ressorts les certificats. Lui demande ce qu'il veux.
Starky a peur. - je ne le comprends qu'a ce moment la' . Meme les coins les plus sombres etaient encore trop dangereux pour lui. Il a voulu venir ici.
Je lui arrache des mains mon passeport.
lui " donne de l'argent"
je ris et je pars.
Il me retient par le bras.
Silence.
"Tiens 10 dollards"
"non plus"
"ca va pas "
Je m'arrache de son etreinte et m'eloigne d'un pas vif.
Surtout ne pas courir.
Ils ne me suivent pas.
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il est 1h du matin. Je suis sur un boulevard desert. Nous avons trop marche' dans le noir. Je ne suis pas sur de la position de l'hotel. Le retour a pied semble difficile.
Il faut heler une voiture inconnue.
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le "taxi" rend la monnaie. apres tout ca, j'ai du mal a croire a tant de bonte' . je le remercie plusieurs fois. Il ne comprends pas.
A la maison, je reveille mon alcoolique de logeuse.
Elle m'acceuille avec de la biere, du Plov, et un peu de viande froide.
Elle s'inquietait.
Ses propos d'hiers semblent loin. Elle est avec un homme. Ils viennent de faire l'amour.
Ses traits par rapport a hiers se sont incroyablement adoucies. Les volupte's ont laisse's sur son regard une joie nouvelle. Ses cernes ne se distinguent plus.
Elle l'embrasse avec une tendresse avide et retenue.
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Moi desole' d'arriver si tard- "Policia..."
Elle - C'est a cause de tes cheveux !
Moi - ...
Elle - Demain coupe coupe.
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Finalement ma surveillance n'a pas ete efficace, les 2 flics ont emporte' une bonne partie de mon argent. Je n'ai rien vu.
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Le lendemain, a l'ambassade.
Moi [ en gros ] - Ressortez le clemenceau !Reparez le De Gaulle ! Prevenez la legion ! Lachez l'operation turquoise ! Parachutez Villepin ! Aux armes qu'un sang impur abreuve nos sillons !
Le vice consul - ben vous savez, c'est comme ca ici : on peux rien faire.
Moi - ...
Le vice consul - Portez plainte ? oh ca sert a rien.
Moi - ...
Le vice consul - Mais c'est marque' sur notre site internet comment se comporter. Vous l'avez lu.
note :
ca sert a quoi une ambassade ?
Publié par nico à 4:29 PM 0 commentaires
a la piscine publique...
un maitre nageur petit gros rond poilus bonbe le torse et engueule ses eleves avec une vehemence caracteristique.
Il y a des profils universels.
Publié par nico à 4:28 PM 0 commentaires
mardi, juillet 18, 2006
A cote's des femmes de vertues dites legeres, on vends des kebabs ruisselants.
Et les hommes passent de l'un a l'autre avec un appetit de chair sans fin.
Publié par nico à 5:54 PM 0 commentaires
Tachkent, en banlieu, [ a cote' la zup, c'est la suisse profonde. ].
Apres une longue perigrination, j'arrive devant un hotel. A l'interieur, une ride'e de concierge connait 2 mots:
"niet" et " au revoir"
J'avoue une certaine lassitude a faire le chemin en sens inverse. L'hotel est loin de tout.
Je m'assois sur un muret avec l'espoir diffus qu'il se passe quelque chose [ quoi d'ailleurs ?]
Dans le quartier, on m'appostrophe " Francus ? Zidane !" et chacun de mimer le coup de tete a sa facon. Rigolard ou hargneux. c'est selon.
On me dit de retourner vers le centre, vers les hotels chics. a chacun sa place.
voyons que fais tu ici c'est la banlieue.
Seul un petit garcon de 14 ans, rondouillard les yeux fiers et doux, des poings ayant deja servis, m'indique un hypothetique hotel a 5km de la.
du coup cahin, caha, nous courrons tous deux apres le tram, echangons nos cigarettes, sautons par dessus les branches mortes.
Nous cheminons tout deux en parlant un curieux melange de Tadjik-ouzbek-franco-anglais qui nous fait bien marrer.
A 50m de l'hotel, il me dit " arretes toi la, je m'en occupe "
Docile, je m'arrete.
Le front haut, pas peu fiers, il part demander les prix.
Quelques minutes plus tard,il revient et me glisse sur le ton de la confidence : " eh pas plus de 5 dollard "
j'y vais.
L'hotel n'accepte pas les etrangers.
"donne moi de l'argent, j'appelle ma mere"
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Peu de temps apres, je debarque dans son immeuble qui est dans un etat de decomposition plus qu'avance'e. Les murs portent de larges fissures, des monceaux de ferailles en sortent par endroit. La porte d'en bas n'est plus. L'escalier de fer fait des bruits inquietant.
Dans l'immeuble a mon arrive'e rires peurs, interrogations.
L'appartement est saisissant. Les tapisseries sont passe'es, dechire'es par endroits. Pour tout meubles, une table, une armoire, un maigre divan, une tele' [ qui ne marche plus depuis longtemps...]. Des photos aux murs arrache's dans quelques magasines, des posters d'un ailleurs fluorescent et 2 portraits inconnus.
Seule la chambre et son rideau de dentelle blanche semble epargne'e.
Le gamin me propose un prix pour la nuit. Je fais semblant de negocier.
La mere:
Elle a les yeux cercle's d'un noir epais. Le maquillage semble avoir coule' depuis longtemps autour de ses yeux noirs. Ses joues sechent creusent son air fantomatique....
A t elle pleure'e. Je ne le crois pourtant pas.
La sueur, l'abattement peut etre.
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A mon arrive'e, elle ne me regarde pas. Engueulle son fils. Echange brutal entre eux dans le couloir delabre'.
Elle se fait douce et m'acceuille.
Elle s'appelle mary et m'appelle Nicole.
elle : " le visage ca va...... mais les cheveux, ca faut raser. et puis la barbe, c'est quoi ca ? "
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Le soir je rentre un peu saoul, elle m'attends.
Nous nous asseyons tout deux et sirotons sa biere a 12 degres, en echangant des paroles d'alcooliques.
Elle : " c'est ma 4 ieme bouteille " [ d' 1,5 L ]
"avant je travaillais dans le metro, mais mon coeur y peux plus. Je peux plus."
" Les hommes c'est fini. Fini. pas de mari."
La lumiere sale de cet eclairage de banlieue creuse sur son visage les boursouflures de l'alcool.
Publié par nico à 5:49 PM 0 commentaires
Un biseness man me raccompagne le soir.
moi - vous pensez quoi du president Karimov?
lui - no comment .
moi - c'est etrange chaque fois que je pose cette question. Tous les gens me disent que c'est quelqu'un de bien. Mais j'ai l'impression qu'il ne me dise pas ce qu'il pense vraiment.
lui - they ' re lying !!!!
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Gentillement, il me raccompagne jusque dans le metro.
Enfin, c'est quelque station plus tard que je me suis apercu que c'etait le mauvais metro...
Publié par nico à 4:48 PM 0 commentaires
La russe ne marche pas. Elle conquiert. Et ses talons hauts frappent le bruit sec de sa domination charnelle, assure'e.
Publié par nico à 4:43 PM 0 commentaires
lui, belge, la figure blanche de viellesse...
- ca fait 14 mois que je voyage. vous savez ce qui me manque le plus ?
-...
- un bon repas bien de chez nous. parcequ'ici...
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-au debut de ma vie, je n'avais qu'une semaine de vacance par an. une semaine vous vous rendez compte ! puis 2 semaines et maintenant 54 semaines...
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- je vais rentrer bientot. Enfin dans quelques mois.
-...
- ca me fera du bien.
-...
- mais je sais que je ne pourrai que penser a mon prochain voyage.
Publié par nico à 4:42 PM 0 commentaires
mon dieu... plus que 2 jours !
je rentrerai le 20 a 17-18h....
A l'heure ou' d'autres rentrent du boulot...
Publié par nico à 4:41 PM 0 commentaires
Un touriste [ sans ironie ].
" moi j'aime bien les dictatures. ce kitch... "
Publié par nico à 4:27 PM 0 commentaires
Dans une espece de forteresse, un gardien nous invite a monter sur le toit par un passage ferme'e mais dont il a la clef.
Moyennant finance, bien entendu.
Lui [ montrant les billets avec un grand sourire ] - " ca, ca va dans ma poche et pas dans celle du gouvernement. Eh non ! Parceque ca coute cher de manger et moi j'aime bien ca... alors tous les touristes qui passent : Hop ! "
ps:
le passage est en fait un ancien escalier sans marche maintenant, totalement obscure. Seul le flash de l'appareil photo nous guide....
Publié par nico à 4:27 PM 0 commentaires
Dans les tombeaux majestueux des rois defunts sous l'or, le nacre et les miroirs, les cerceuils sont d'une humilite' troublante.
De simple parrallepipede blanc.
C'est a se demander si il n'y a pas ici un orgueil incroyable derriere cette modestie apparante.
Publié par nico à 4:26 PM 0 commentaires
samarcande suite
Sur les tombes sont grave's les visages des defunts. Tous font la gueulle. A croire que le sourire est incompatible avec la dignite'.
Publié par nico à 4:12 PM 0 commentaires
Etrange de construire un restaurant juste en dessous d'un nid de frelons.
Enfin a nos yeux. Parcequ'ici on les chasse d'un revers de la main avec une placide indifference...
A chacun de leurs passages, nous, nous sursautons, bondissons de nos chaises, saisissons toutes armes disponibles et luttons en vendant cherement notre peau. Enfin battons l'air vainement.
Il en vient 4,5 . nous ployons sous le nombre. et ne restons plus assis.
Nos voisins de table nous regardent hebete's, nous disent de nous assoir. Ne comprenne pas notre agitation.
Nous fuyons vers une autre table.
Ils reviennent.
Nous mangons debout, en bondissant parfois.
Nous n'avons jamais mange' aussi vite.
Publié par nico à 4:12 PM 0 commentaires
samarcande...
visite dans l'antique...
Portique immense 40 m de haut. Murs epais s'elevant. Dominateur. Pure etalage de puissance brute. Un emissaire anglais aurait eu l'audace de franchir la porte a cheval. Il en eut la tete tranche'.
Mais une fois le portique traverse' , s'eclaircit une cour verte et douce. En son milieu, un arbre antique deploit son ombre bienfaisante. Tout y respire alors la tranquillite' des palabres estivales... Autour, des niches dans les murs de sables sont salles de cour, salle de priere, salle de repos.
Dans les couloirs et les voutes, il regne le silence d'une spiritualite' anoblie.
Publié par nico à 4:12 PM 0 commentaires
On a beau etre un joyeux tyran sanguinaire, et bien il suffit d'aller guerroyer jusqu'a Istanbul et Delhi pour etre venere' .
C'est magique l'histoire, non ?
Publié par nico à 4:01 PM 0 commentaires