de long pans plissées de tissu chatoyant, ondulant dans la lumiere, enveloppent le corps des femmes d'une beauté singuliere, sensuelle et non érotisée. Les longues largeurs de tissu recouvrent les féminines courbures, et les effacent et en scultent d'autres, nouvelles.
Sous les reflets de la lumiere et des mouvements des corps, des ombres se creent, des gouffres se creusent, des vagues de soie se forment. Le corps feminin n'est plus sexuee. Il reste ondulation et fluidité, mais une ondulation dégagée de toute signification, une beauté distante, intemporelle, non désirable.
dimanche, juin 04, 2006
Publié par nico à 5:33 PM
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