l'etrange mauve des monts nous entourant semble s'etre perdu d'une palette d'un peintre d'un XIX ieme siecle trop impressioniste...
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le reste est douceur de l'herbe fraiche, fougue et folie des chevaux noirs sauvages, impetuosite's des cornes assere's, et blanche blanche riviere dans le grondement de sa force pure.
Et puis yourtes molles, rondeur souriantes, pose'es la' comme une miracle dans la valle'e.
Et les visages use's a trop voir passer les orages et a rever l'horizon.
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Suivant le dodelinnement des mousses debonnaires, la cascade forme des filaments nacre'e qui tressent en rugissant des habits de dentelles a la roche saillante.
dans son souffle frais, nous restons la' a suivre le fleuvre rouler sa semence.
vendredi, juin 30, 2006
la valle'e des fleurs ( karakol)
Publié par nico à 4:57 PM
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