sur la place, j' attends un bus qui devait passer a 10h et qui passera a 13h ou 14h , on ne sait pas Trop. faut voir dit on ici.
le soleil est déjà haut, frappe durement les corps.
les vendeuses de fruits ont repliés leurs étals, se sont réfugiées a l'ombre. Personne ne viendra maintenant. L'epicier fait les cenT pas, pense a fermer, puis renonce. s' assoiT au bord du Trottoir. Le soleil lui ploie les epaules, il courbe la Tête, la prends dans ses mains. c est un homme presse. il n y a rien de pire ici.
A quelque mètres de lui, des personnes d'un autre age se sn ramasees, reunies auTour d' un peu de fraicheur. Elles ? elles parlent lentement, laissent passer de longues volutes de silence. on'y engouffre. Rien ne saurait les brusquer et encore moins ce car de Touriste qui vient , s ebruiTe eT s'en va.
comment ne pas s'appaiser en les voyant ?
mardi, avril 22, 2008
la vie devant soi
Publié par nico à 5:40 PM
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