jeudi, mai 11, 2006

c'est Le Bazar

Tabriz,
dédale sans fond, sans fin. Voutes millénaires prodigieuses ornant les passages. domes vertigineux à chaque intersection.
Parmis l'or, les parfums, les tissus, on y circule un peu comme dans un rêve. De temps à autre, une porte s'ouvre. Une vaste cours apparait. Au milieu, une fontaine ou de longs tapis ou un calme incroyable, inespéré.
Le touriste intrépide y entre souvent, sous le regard des passants qui savent eux qu'il ne s'agit que d'un débarras ou d'une cours personnelle.

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