dans un refuge,une russe comme ayant pousse'e avec les pierres nous acceuille.
a ce propos, laissons les grands parler
" Des manches de sa camisole depassaient deux longues mains, a articulations noueuses. La poussiere des granges, la potasse des lessives et le suint des laines les avaient si bien encroute'es, eraille'es, qu'elles semblaient sales quoiqu'elles fussent rince'es d'eau claire; et a' force d'avoir servi, elles restaient entrouvertes, comme pour presenter d'elles-memes l'humble temoignage de tant de souffrances subies. "
ce torture' de Flaubert...
mercredi, juillet 05, 2006
Publié par nico à 6:30 PM
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