Des Lenines se dressent a chaque coin de rues. Dans l'indifference la plus totale. S'il eut e'te' plus fris'e , on s'en servirai comme porte manteau.
mercredi, juillet 05, 2006
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Enfance. Un beau soir vous avez poussé la porte du jardin
Du seuil voici que vous suivez le paraphe noir des arondes Vous sentez dans vos bras tout à coup la dimension du monde Et votre propre force et que tout est possible soudain.... |
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Des Lenines se dressent a chaque coin de rues. Dans l'indifference la plus totale. S'il eut e'te' plus fris'e , on s'en servirai comme porte manteau.
Publié par nico à 6:30 PM
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