Etrange de construire un restaurant juste en dessous d'un nid de frelons.
Enfin a nos yeux. Parcequ'ici on les chasse d'un revers de la main avec une placide indifference...
A chacun de leurs passages, nous, nous sursautons, bondissons de nos chaises, saisissons toutes armes disponibles et luttons en vendant cherement notre peau. Enfin battons l'air vainement.
Il en vient 4,5 . nous ployons sous le nombre. et ne restons plus assis.
Nos voisins de table nous regardent hebete's, nous disent de nous assoir. Ne comprenne pas notre agitation.
Nous fuyons vers une autre table.
Ils reviennent.
Nous mangons debout, en bondissant parfois.
Nous n'avons jamais mange' aussi vite.
mardi, juillet 18, 2006
Publié par nico à 4:12 PM
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