zahedan, zone de transit où on n'ose encore rompre avec un pays trop connu.
Il faudra encore attendre alors que le regard se porte déja au loin.
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la rupture, pourtant, se prononce déja. Nous sommes en Balouchistan. Les hommes portent des pantalon bouffant et de larges tuniques qui furent blanches. Les pomettes se font saillantes, le tein, les cheveux se noircissent.
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quelques regrets, autant de remords de quitter un pays à peine entre apercu, mais un vrai frétillement des semelles, une curiosité comme un défi.
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Ces histoires de visa brisent un peu les reves d'hommes libres de part ce monde, pour laisser place à la triste vérité de l'homme bureaucratique.
mercredi, mai 31, 2006
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Publié par nico à 3:05 PM