trop de chaleur par ici. le soleil s'etire sur les surfaces betonnees et rends les corps las, trop las.
Teheran cache ses tresors. et ce n'est ni le soleil de mai, ni les immensites betonnees qui me donneront envie d'aller en deterrer d'autres.
Je partirai au sud voir ces fumeurs de chiites.
samedi, mai 20, 2006
Publié par nico à 4:13 PM
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